Notes hebdomadaires #47
La masculinité mise à mâle, des pubs dans WhatsApp, une démo d’un potentiel futur Element Web, et la spaghettification.
Beaucoup de temps passé loin des écrans et dans la vraie vie cette semaine, avec beaucoup de projets personnels qui commencent ou se terminent ces temps-ci. Une note hebdo plutôt courte, du coup 😎
⚒️ Des projets
- Element / Rust SDK : des gens de mon entreprise ont proposé une démo d’une refonte d’Element Web qui utiliserait le SDK Rust ; codé en deux jours, c’est un beau prototype, et ce serait tellement cool qu’on puisse continuer là-dessus, pour enfin n’avoir qu’un seul SDK pour les gouverner tous (et dans la lumière, les patcher).
📺 Regardé
- Viril, la masculinité mise à mâle : un format court d’Arte, percutant, avec des interviews très classes, sur la masculinité (et ses soit-disantes crises). Super bien ! Si jamais des gens savent où trouver les entretiens complets, ça m’intéresserait ☺️
📕 Lu
- Commencé le tome 2 de Tant que le café est encore chaud : Le Café du temps retrouvé, pour accompagner mes insomnies c’est pas mal d’avoir une histoire douce et légère qui capte mon attention mais pas trop.
🤓 Veille tech
- WhatsApp va inclure des pubs basées sur les informations partagées avec Instagram et Facebook. Il est temps de se désinscrire, pourquoi pas passer sur une messagerie sécurisée comme Signal ou Element 👀
- Petite vidéo d’explication sur le fonctionnement d’Anubis, aka le système de la petite infirmière manga qui évite les pics de trafic par des IAs sur ses sites web.
👀 Au passage
- La spaghettification, un phénomène de physique spatial qui n’est autre que le phénomène des marées mais appliqué à tous les objets. Si j’ai bien compris, et autant vous dire que c’est de la physique, c’est sûrement pas le cas ^^
- Stopping AI from taking your job by taking AI’s job, une petite idée qui peut aller loin, très loin…
- Bon comme j’ai pas grand chose cette semaine, voici un short d’un mec qui fait du beatbox avec son chien qui grogne en mode métal. Voilà, bonne semaine à tous·tes.