La fin d’année on kiffe, on peint virtuellement, on ne se laisse pas faire, on distingue le toi du moi et du nous.

Vu / Lu / Écouté / Joué

• 📚 Fini le livre « Seul sur Mars », d’Andy Weir, qui m’avait été recommandé par un ami. Très technique, un peu sec parfois, où j’avais l’impression de lire quelqu’un me lire à haute voix un manuel technique. Par contre, très palpitant sur la fin.
• 📺 J’en ai profité pour revoir le film « Seul sur Mars » avec Matt Daaaaaaaamon ^[1]. J’aime comparer les adaptations avec les originaux. Eh bien, c’était une bonne chose de comparer : le personnage du film est beaucoup plus émotif et moins rationnel-optimiste (ce qui n’est pas un mal, hein — simplement une autre palette d’émotions). Il rencontre beaucoup moins de soucis que le héros du livre. Le film est généralement plus rocambolesque et haut en couleurs, et je comprends le parti pris, qui nuance justement la sécheresse relative du livre.
• 🎮 J’ai commencé et fini Behind the Frame, un point-n-click en mode enquête, très chou, relativement simple, avec une belle narration sur une histoire d’amour et peinture. Très très chill, parfait pour cette période de fêtes, et super court (fini en environ une heure et demie).
• 🕸 Ces pseudo-experts et opportunistes qui s’engouffrent dans le champ du TDAH | Slate.fr : une analyse intéressante des arnaques au TDAH, avec une statistique effarante : 95% des contenus liés au TDAH relayés sur TikTok seraient faux 😨
• 🎧 There’s You, There’s Me, There’s US - Where Should We Begin? with Esther Perel : imaginez pouvoir être une petite mouche posée contre un mur, lors d’une séance de psychothérapie assez intense ; c’est ce que nous propose ce podcast en général. Dans l’épisode d’aujourd’hui, une intense session entre
• 📺 Je ne me laisserai pas faire, un film que j’ai conseillé la semaine dernière, et gratuit sur Arte TV toute la semaine. Eh bien on me l’avait recommandé plusieurs fois, et j’ai compris pourquoi  : entre la fable revancharde et une représentation malheureusement réaliste de la condition de femme dans une culture du viol, on s’attache beaucoup à tous·tes les personnages. Brillant.

1. America : Fuck Yeah. ↩